Nom : Mon nom de famille est Valentyne. Mais ça n'est qu'un nom que j'ai emprunté lors de mon adoption.
Prénom : Orion Lazarus est aussi le nom qu'on m'a choisit, sans me demander mon avis.
Age : 11 ans, d'apparence du moins. J'ai oublié le véritable.
Race (ange, démon, vampire, humain etc.) :Je suis un ange d'après ce que j'en sais.
Métier : Etudiant à l'Académie Klain
Pouvoir(s) : Absorption.
Description du/des pouvoir(s) : J'absorbe les pouvoirs des autres en les touchant. Je peux alors utiliser leur pouvoir durant 30 minutes qui suivent, alors que la personne touchée est privé de son pouvoir pendant 30 minutes.
Arme(s): Voir au dessus.
Description de(s) l'arme(s) : Voir au dessus.
Avatar (personnage - provenance) : Laphet (artistes) — Perso inconnu /le petit brun/

Description physique : Les anges sont tous beaux. Les traits les plus délicats que personne n'ait jamais vu sur cette planète. Aucun humain ne pourrait les égaler, non vraiment aucun. Ils peuvent tous essayer d'y ressembler un peu, mais jamais n'avoir la beauté céleste. Les démons aussi sont tous beaux, mais ça n'est seulement que pour tenter et tromper non ? Ils sont attirants eux, physiquement. Ils n'ont pas cette « gueule » d'ange et ne l'envie pas. C'est une autre forme de perfection. Et peut être pas la plus trompeuse …

Les humains eux ? Ils sont parfaits. Au premier abord, on ne voit que leur laideur apparente, autant dans leurs visages que dans leurs actions. Leurs corps est fragile, sensible au temps et aux moindres changements. Leur esprits est la chose la plus complexe qu'on puisse imaginer. Et ils aiment cette complexité, aussi longtemps qu'ils l'entretiennent. Et moi, je les envies tout de même. Vivre à en mourir. De n'avoir que le souffle à survivre à des épreuves qu'ils se créent eux mêmes. Peut être pour se prouver qu'ils sont plus forts que les autres ?

En attendant, il me semble que je vous doit une description de ce que je suis, pour ce qui est des archives. Alors soit, voici ce que je suis. Je suis un ange. Il serait vous mentir que de me décrire comme quelqu'un d'athlétique, musclé avec les tablettes de chocolat, bronzé à souhait et attirant les femmes dès le premier regard. Non, jamais de ça. En réalité, j'ai ma gueule d'ange. Je me tiens le plus souvent très droit, le dos toujours souple tout de même. L'air adroit, j'ai tout ce qu'il faut, aux bonnes proportions. Ni pas assez, ni trop. Une personne dessiné par un artiste, quoi que les traits ne seraient pas encore assez parfait, car je suis aussi parfait que possible. Mieux qu'une poupée de porcelaine même. Aucune imperfection sur ma peau. Vous n'y croyez sans doute pas, et je peux le comprendre. Mes parents non plus en fait, n'y croyaient pas. Le teint blanche, une peau de bébé, laiteuse, même si je reste exposé au soleil. Les roseurs ne manque pas non plus pour rajouter au contraste de la peau et d'y mettre un peu de gaîté. Passons maintenant aux membres supérieurs, et partons par ma tête. Mon visage est plutôt ovale, les joues roses, comme un enfant. Mes yeux sont d'un bleu clairs que personne ne peux égaler. Mes lèvres, quant à elles, sont plus roses que les joues. Une bouche souriante, charnues. Les cheveux qui recouvrent ma tête sont courts, bouclés, bruns. Mais avec ce corps, ce n'est pas de la jalousie que l'on éprouve. Car je ne suis pas attirant. Ou alors ça serait de la perversion malsaine ... vous n'êtes pas un pédophile au moins ?
Mes bras et mes mains sont si bien construites que je pratiquement faire ce que je veux avec. Mes ailes sont si éclatantes et si pures qu'elles peuvent me soutenir aisément dans les airs. Ma condition est excellente, je le sais. Mais je n'aime pas ce que je suis. Je n'aime pas être parfait. Les gens accordent une si grande importance au physique, que je m'en suis dégoûté.

Je fuis mes semblables, je préfère encore me plonger dans les profondeurs qu'offre le monde des humains. Même si, ici encore, je serais traité comme un ange, cela m'est égal. Certains comprendrons rapidement qu'il faut se méfier des apparences. Je suis loin d'être innocent.

Caractère : Certains sont persuadés que la psychologie même appartient au monde des mortels. Qu'elle n'est que leur création. Elle est des plus complexe et moi, je dois avouer que parfois, je les admire. Ils essayent de comprendre comment un corps marche. Ils essayent d'établir des règles pour savoir, comment on pourrait réagir. Mais le concept même, c'est que rien n'est écrit à l'avance. Et qu'il n'y a pas de règles. Nous ne sommes donc pas si différent psychologiquement parlant, les humains, les anges, les démons, les hybrides, les vampires et tout les autres. Nous réfléchissons de la même manière en somme, juste qu'il nous manque quelque chose qu'eux ont. Certains affirment qu'on a tous un cœur. Un cœur pas dans la poitrine, mais dans la tête. Dans l'âme. Il varie même selon la personne. Que n'importe quel sentiment vient de l'amour. D'abord la haine, son opposé. Il suffit parfois d'un pas pour que l'un devienne l'autre, ou que l'autre devienne l'un. La peur, la tristesse, la rancune, la jalousie, le désir. Tout découlerait de l'amour. Cela voudrait donc dire que nous n'avons pas de sentiments, si nous n'avons pas de cœur ?

Pour ma part j'aime beaucoup observer les autres. Ils sont pathétiques. Mais tellement intéressant. Ils ont beaucoup de défauts, comme ils ont de qualités. Que voulez-vous, je déteste m'ennuyer, en général, alors j'essaye toujours de trouver une occupation digne de ce nom. La plupart des gens vous direz que je n'ai aucune qualité, mais c'est peut-être parce que nous n'avons pas la même notion des choses. Quoi de plus inutile que d'être loyal et franc dans ce monde. Je n'aimerais pour rien au monde l'être. Ni même être affectueux. La gentillesse même me fait vomir. On ne gagne jamais à être gentil. C'est faux. On se fait toujours manger un jour où l'autre par plus gros et plus fort que soit. Tout le monde passe par là, alors pourquoi continuer à jouer les abrutis pour se faire avoir encore une fois ? Non, il faut ruser pour être plus fort que ceux qu'on ne peut combattre, c'est la seule solution. Le combat physique ne sert à rien, quand on a pas de cerveau assez puissant pour réfléchir. L'ingéniosité et la créativité est la seule solution pour s'adapter. Ma vivacité d'esprit et mon naturel posé dérange la plupart du temps. J'ai aussi une aisance à m'exprimer qui me vaut de m'attirer de sacrés ennuies. Non pas que je ne m'en rend pas compte, rassurez-vous. Je le cherche, bien évidement. Je vous l'ai dis, je déteste m'ennuyer. Et je déteste le conformisme également. Je ne fais jamais une chose que je n'ai pas envie de faire. Donc, si je le fais, c'est que ça me rapporte quelque chose. Souvenez vous de ça, la prochaine fois. Bien entendu, je suis malveillant. Cruel même. Antipathique. Surtout sournois. Et je m'énerve rarement. Car je crois avoir toujours une avance sur les gens. Quel qu'il soit. Ne me traitez pas de prétentieux, si vous ne voulez pas que je m’intéresse de trop près à vous. Vous ridiculiser en public ne me fait pas peur. Ça me divertira. Je vous avez pas dit que j'aimais rire ? Après tout, ne m'en voulez pas... je ne suis qu'un enfant. Du moins, vous le croyez.

Histoire : J'ai toujours trouvé les gens bien naïf de se laisser avoir par le physique des gens. Le premier réflexe qu'on a lorsque qu'on rencontre quelqu'un, c'est qu'on se fait une opinion de la personne par son apparence. Tout le monde a ce réflexe là. Il est vieux comme le monde, et même chez les animaux il est parfois mis à l'honneur. C'est un instinct dirions-nous. Mais un instinct stupide qui peut parfois mener à notre perte. Ne vous fiez jamais à l'apparence des gens pour les juger.
La première fois que mes parents adoptifs m'ont rencontré dans l'orphelinat, c'est ce réflexe idiot qui les a conduit à m'adopter. Je les savais différent des humains, tout comme je savais que je l'étais depuis des années. J'ai alors décidé que je devais me servir de mon physique et de mes bonnes manières pour les inciter à faire. Mon pouvoir ne m'était pas non plus inconnu. Les adultes que j'avais choisi me servirait un moment où à un autre.
J'étais étonné de voir que ma supercherie marchait avec eux. Après tout, ils étaient sensé être eux aussi des êtres supérieurs. Mais non, ils se laissaient facilement berner par un visage angélique, un minois innocent. Personne n'était sensé savoir que c'était moi qui terrorisait les autres enfants de l'orphelinat. Mais cette crainte que je sois moi aussi mal mené les amena à conclure au plus vite mon adoption. Les parents feraient vraiment tout pour protéger ce qu'ils ont de plus cher, même si bien évidement, je n'étais pas d'eux.
Je me retrouvais alors dans une riche famille, avec deux parents presque aussi unique que tout ceux qui avait un don. Ils ignorèrent longtemps mon propre don, parce que j'en avais ainsi décidé. Il était inutile qu'il le sache. Le simple fait que je sois un ange les conforta dans l'idée que je ne pouvais être qu'un être merveilleusement docile, bienveillant, et surtout mielleux. Je devais subir et leur faire subir tout ce qu'ils voulaient. Convenance, gentillesse. J'en étais malade.
Je jouais mon rôle à la perfection. Mais j'en étais lassé de toujours jouer les beaux, et ne jamais pouvoir jouer à mon activité favorite. Je leur suggérais bientôt de m'inscrire dans une académie, où d'autres êtres que moi étudiaient, parmi les humains. Au départ réticent, ils avaient vite fait d'abandonner quand ils imaginèrent les larmes aux bords de mes yeux, s'ils n'acceptaient pas ma demande. L'académie est une vraie cour de récréation quand on y pense. Avec autant d'êtres différents à ma portée. Je pris rapidement l'habitude de les toucher, et d'utiliser mon pouvoir et les leur du coup, pour m'amuser. J'en manipulais certains, pour les monter contre les autres, en terrorisaient d'autres. Mais rien ne se savait car ils avaient toujours trop peur que je les prives à jamais de leur pouvoir. Quant aux humains ... je n'y touchais pas encore. Trop idiot et trop fragile, c'était beaucoup moins amusant avec eux. J'étais déjà passé par là. J'aime mieux m'attaquer à plus fort, pour leur montrer à quel point ils peuvent redevenir faible. Rien.
En attendant, cette bonne vieille méthode marche encore. Joli visage, angélique. Oui je suis un ange. Mais c'est un préjugé de croire que nous sommes tous des êtres innocents. Ne tombez pas dans le panneau avec moi. Car vous risqueriez de vous faire avoir autant que les autres.

Code du règlement :Il suffit d'y croire un peu …
Découverte du forum : J'ai dû y faire un passage dans une vie parallèle.
Un petit discours?Plop. Bon. Elsa.
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