Mégane Van Cluzel Statut : Jardinière. Messages : 13 Mystérieuses framboise-cerises : 102 DocumentsAge (ou l'age d'apparence): Dans les 20ans.Pouvoir(s): Peut communiquer avec les esprits et les fantômes. | |
| Sujet: Van Cluzel Mégane ~ Quand l'Ombre tombera, L'Ange réapparaîtra. Mer 23 Mar - 18:24 | |
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© Poppy
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Mégane Van Cluzel . Nom ; Van Cluzel est un nom à consonnance plutôt européenne, n'est-ce pas ? Et bien vous avez dans taper dans le mille. Cependant, Mégane portait le nom de Sadaharu, lorsque son maître l'a récupérer. Disons que son nom actuel n'est qu'un pseudonyme. Prénom ; Mégane est aussi un pseudonyme. Son véritable prénom est Ririn, seul ses "amis" de l'époque ont conscience de de son nom. Age ; Quel âge.. Quel âge donner à Mégane. Disons qu'elle une vingtaine d'années. Ayant perdu la mémoire, Mégane ne sait plus sa date de naissance, donc aucun lien avec son passé. Type ; Voyons, Mégane est une humaine. Secret ; Mégane est toujours suivit de son acolyte, Bushou. Malheureusement, ce n'est qu'une âme érrante, mais très amicale, et il est visible par tous et ne se sépare jamais de Mégane. Statut ; Mégane est une exorciste. Mais elle ne s'attaque qu'aux esprits malsaints ou d'autres bêtes plus... impossante, du gobelin au troll. Pouvoir ; Mégane n'a pas de pouvoir à proprement parler. Disons qu'elle a la possibilité de discuter, de voir et d'entendre les esprits. Tout comme elle peut ressentir le caractère d'une âme, qu'elle qualifie d'aura. Armes ; Mégane possède deux katanas.
L'un est aussi grande que Mégane et c'est une arme dîtes "sacré", il possède aussi la particularité d'avoir une mèche important des cheveux de Mégane accrocher à son fourreau. Fourreau de couleur, dont le motif possède des pétales de ceriser. Et au bout, se trouve toujours une fleur, il s'agit d'une fleur de lotus, le plus souvent. Son nom est Ashuu.
L'autre fait la taille d'un katana normal, et il ne possède aucune particularité. Son fourreau noir, lui, possède une décoration spéciale. Il possède un bandage enrouler tout autour du fourreau. Son nom est Kyou.
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Ce sont toujours nos bons sentiments qui nous font faire de vilaines choses.D e s c r i p t i o n__P s y c h i q u e ; Mégane est une personne qui a appris à garder son sang froid dans toutes sortes de situation. Elle ne s'énervera jamais sans véritable raison, ne réglera jamais des problèmes "léger" à l'arme blanche. Son calme constant en exaspère plus d'un. Cependant, celà ne veut pas dire que Mégane ressemble à une "droguée", elle reste toujours concentrer, n'évitera pas le problème qui se pose face à elle. L'éducation qu'elle a suivit, la patience a été le maître mot, si on peut dire. Patience, loyauté, sagesse sont là les trois mots qui couronne son éducation. La patience qu'elle a aquit au cours de nombreux entrainements lui ont donner le potentiel de rester imperturbable face aux dangers ou aux choses qui dépasse les autres. Loyal envers ses amis de passage ou non, Mégane n'hésitera pas à utiliser sont corps pour en faire un bouclier. Tout comme elle jurera par ses épées de protéger quelqu'un. D'ailleurs, elle tient toujours ses promesses, qu'elle soit réalisable ou non, une promesse est pour elle quelque chose qu'on ne peut briser sous aucune raison, même si elle ne prête pas beaucoup d'attention à ses relations amicales, Mégane tient ses promesses. Sage, notre jeune exorciste ne se lance pas dans des quêtes impossibles, surtout si cela se termine en mésaventure catastrophiques. Disons qu'elle ne fonce pas dans le tas, tête baissé. Il lui faut un petit moment de réflexion, d'où la sérénité qu'elle dégage lors de grandes réflexions. De plus, lors de moments agités, où l'action est bien présente, Mégane restera "de glace", dirons-nous.
Cependant, malgré ses qualités, Mégane possède des défauts. Par exemple, sa loyauté est faussé par sa rancune. Vous n'aurez que vos yeux pour pleurer si vous la trahisser. Elle mettra un terme à votre amitié/relation que vous avez avec elle. Tout comme elle ne fait confiance à personne, à cause d'une vieille trahisson. Vieille blessure qui l'empêche d'être proche avec des hommes. J'ai bien dit des hommes. Les femmes, c'est plus facile. Disons qu'un homme l'a trahit dans son "enfance". Le contacte est plus rude avant un homme, tout en restant polie. Mégane sera juste moins indulgente à l'égar de la gente masculine. Après tout, les filles sont plus sensible que les garçons, non ? D'ailleurs, Mégane a horreur des personnes qui s'amuse à noter chacune de ses réactions, de ses émotions. Surtout quand ils croivent que les amnésiques comme elle n'ont plus la notion des émotions, du temps, des choses qui les entoures. Ca l'agaçe à tel point que ces personnes finissent souvent avec une menace aux fesses. Son manque de confiance aux autres la résouds souvent à ne jamais faire part de ses émotions, de son histoire. Si vous lui demandez d'en parler, elle ne le fera pas, Mégane ira même jusqu'à vous mettre un vent énorme. Elle n'en parlera qu'à ses très, très proches amis.
D e s c r i p t i o n__P h y s i q u e ; Mise à nue, le corps de Mégane est un véritable livre. Comparable à une montagne. Premièrement, par la taille, Mégane est "imposante", elle mesure presque un mètre quatre-vingt deux. Un mètre quatre-vingt deux sans graise, bien évidemment. A vrai dire, avec son statut d'exorciste, Mégane ne peut pas permettre de laisser une quelconque chance à son corps de se ramolir. De plus de sa taille, tout son corps a été témoin des pires sévices de sa vie. Il collectionne les cicatrices, les hématomes, les fractures et autres babioles. Graver comme dans une pierre, chaque parcelle de sa peau blanchâtre raconte l'histoire oubliée de Mégane. Cependant, toute ne souhaite pas parler, au plus grand dam de Mégane. Mais la cicatrice la plus significative pour elle, c'est celle situé juste sous son sein gauche. Cicatrice que Mégane à elle même soigner et recoussu avec grand mal. D'ailleurs, c'est une plaie toujours ouverte pour elle, comme un point sensible si vous voulez. C'est là le seul endroit qu'il ne faut pas tripoter, outre ses fesses et sa poitrine. Toucher cette cicatrice et Mégane se mettra à gémir de douleur, tandis qu'une autre ne la fera pas soufrir autant. Disons que vous n'aurez même pas le temps d'essayer que vous reçeverais une caresse des plus violente sur la joue.
Outre la taille étonnante de Mégane, ses yeux sont la chose de bien des moqueries. Disons qu'ils sont, oui, très beau. L'un est bleu ciel, voir cyan. Le genre de bleu très rare, qui blanchit à la lumière extérieur, et noircit dans les lieux sombres, ainsi se décline les couleurs de l'oeil gauche de Mégane. Quand à l'autre, il est d'un vert perçant, presque comparable à une pierre précieuse. Contrairement à son confrère, lui, garde toujours sa même teinte profonde, ce qui donne un jolie contraste sur son visage pâle. Visage fin qui s'armonise avec un nez discret, des lèvres frêles mais à l'air sévère. Petits morceaux de chair qui ne laisse jamais entre voir ses quenottes blanches au détour d'un sourire. Tout aussi blanc que sa dentition, ses cheveux courts sont d'un blanc liliale. Rarement attachés, ils sont souvent souvent à l'air libre. Il y a bien longtemps, Mégane avait les cheveux long, lui arrivant dans le bas du dos, suite à son entrainement, elle a décidé de se couper les cheveux, et ils ont gardé cette taille.
Côté vestimentaire, Mégane ne s'affuble pas d'acoutrements bizarroïdes, mais elle à son style. Disons que Mégane à une préférence nette et bien marqué pour les chemises de couleurs blanches et elle ne porte que sa. De plus, elle ne porte que des pantalons comparable à des slims, ils arborent souvent des couleurs ternes tel que le gris, le noir, voir très rarement le blanc. Quand ce n'est pas des pantalons, Mégane porte des shorts, toujours de la même couleur. Cependant, elle ne se sépare pas de sa veste aux manches absentes, de couleur verte, s'arrêtant juste au dessus des genoux. Veste qu'elle garde précieusement, second souvenir matérielle de son passé. Veste qui rapelle très souvent celle de l'armée à cause de sa couleur kaki, de sa boucle de fermeture. Pour rien au monde elle abandonnerait cette longue veste. D'ailleurs, si cette veste s'arrache, Mégane sera la seule capable à la recoudre. A vrai dire, elle a appris à se débrouiller seule, une partie de son entrainement consister à savoir coudre, cuisiner, nager, écrire, lire, compter et autres enseignement de base. Pour se chausser, Mégane porte des rangers élégantes et féminies de couleurs marron. Mais le plus souvent, elle se balade pieds nus. Surtout en été, lorsque mademoiselle Van Cluzel porte des robes de couleurs vertes au jupons blanc.
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Au fond, nous sommes tous les jouets de la vie.
Chatper I : Who I am ? * Des rizières à perte de vue. Dans ses champs humides, un corps. Un corps pudiquement recouvert par de long cheveux blanc. Les yeux clos, les bras en croix, les croassements des volatilles désireux de s'emparer de ce futur cadavre. Cependant, l'attroupement des paysans trouble leur repas. Paysans du bas-monde, chuchotant que l'ange était là, devant eux. L'Ange qui ammenera paix, fertilité et amour. Pour tant, l'être céleste n'a pas bouger, n'a pas émit une seule protestation, malgré les chuchottements des paysans. Soudain, une main se leva et traversa tout la troupe. Une main d'homme sévère, façonné par les longues années de travaille dans les rizières. D'une voix lourde, impossante et calme, il annonça qu'il prennait en charge la dites ange, annonçant à ses confères que cette fille n'est peut pas un signe du Seigneur. Cet homme fortement âgée se fit aidé pour reconduire l'ingénue chez lui. L'homme et sa femme prirent soin de la jeune fille, et les questions sur le pourquoi du comment commencèrent à arriver. Cette fille ne pouvait pas être un ange, malgré ses longs cheveux blancs. Chaques villageois vennaient prendre des nouvelles de leur "miracle", à chaque fois, la femme du vieil homme leur répondait qu'elle allait bien, mais qu'il ne fallait pas croire que c'était une envoyée de Dieu. Quand les rumeurs furent consumer, le vieux couple attendaient avec patiente le réveil de la jeune inconnue. Cela s'éternisa sur plus d'un mois. Un mois pendant les quels Yuri et Ikyoki non jamais cesser de protéger la jeune fille...
« J'ai l'impression d'avoir dormi des années, voir des siècles entiers. Quand j'ouvrit les yeux, je sentais comme une aura de béatitude qu'une personne dégageait, elle semblait d'une gentillesse incomparable, d'une douceur sans limite. J'avais simplement ouvert les yeux, et pourtant, je ne voyait pas qui c'était. Je ressentais vraiment une sensation de bien-être que je n'avais pas connu dans mon sommeil. Avec lentitude, j'entendit une voix féminine, douce et agréable. Me disant de pas m'inquièté, et comment je pouvais m'inquièté ? J'était bien, là. Dans ce lit à même le sol. Certes, ce n'était pas confortable, mais cette pièce, que je devinait grâce aux ombres sur le plafond. Tout aussi lentement qu'elle parlait, je me redressait, observant les alentours avec le même calme que la femme m'expliqua la situation. Son nom était Yuri, celui de son mari était Ikyoki. Elle me demanda le mien. Ce fût alors le grand vide. Le trou noir. Je me crispa en la regardant. Non, je me souvenait plus de rien. Je quitta son regard pour voir mes mains. Des bandages soigneusement serrés. Une sorte de boule s'installa dans ma gorge, et les larmes coulèrent sur ma joue. Mademoiselle Yuri me prit par les épaules, au même moment, un homme à l'air sévère entra dans la chambre. De lui, je senti comme de la chaleur, une puissance incomparable. L'idée que ces deux personnes soient ensemble me fût... étrange. Enfin, quand Ikyoki me vit dans cet état, il s'approcha de moi, s'agenouyant à l'opposer de Yuri. Elle me demanda ce qu'il n'allait pas, et je lui dit. Je lui dit que je ne me souvenait de rien. Pas même mon prénom, l'année. Rien. Yuri me serra contre elle, comme si j'était sa fille, c'était doux. Quant à Ikyoki, lui, son visage exprimait la reflexion. J'avais arrêter de pleurer grâce à l'étreinte chaleureuse de Yuri. Soudain, un éclaire passa dans le regard de pierre dans les yeux d'Ikyoshi. Je n'oublierais jamais son sourire quand il m'annonça mon nouveau nom, ma nouvelle situation, ma nouvelle vie. Ririn Sadaharu, fille adoptive du couple Sadaharu, suivant l'entrainement d'Ikyoshi. Entrainement. Vous avez bien entendu. En plus de travailler dans les champs de riz, j'avais le droit à un complément de remise en forme. Mon maître n'était d'autre que mon père, Ikyoshi. Je ré-apprennais la vie. L'entre-aide dans ce petit village où je suis tombée semble être la chose la plus importante ici. Nous étions en plein saison pour les récoltes de riz, et chaque paysans me remercier, je ne savais pas pourquoi, mais Ikyoshi me dit de démentir, qu'il m'expliquerait plus tard. C'est au cours du souper, qu'on m'expliqua furtivement mon arrivée, et les rumeurs à mon sujet. J'écoutais sans broncher, je ne pouvais rien faire d'autre. Yuri, elle, m'avait dit d'ignorer et de continuer la vie que j'avais entâmer. Vie dont la moitié avait été consumer, et l'autre n'attends que mon coup de plume. Ne perdons pas espoir... »
* Non loin du village, une cascade silencieuse à l'eau fraîche et cristalline. Raide comme un bâton, un vieil homme était sur la rive. Le regard sévère à observer une jeune fille aux cheveux courts. Elle se tenait sous la cascade, à moitié nue, les yeu fermés, contrôlant comme elle le pouvait sa respiration et ses tremblements. A chaque expiration bruyante qu'elle émettait, le vieil homme lui infliger un coup de canne dans les mollets, la jeune fille avait les jambes parsemmés de bleus. Tout comme le reste de son corps. Un nom s'échappa de la bouche frêle de la jeune fille. Ikyoki. La pauvre jeune fille gémissait à chaque coup. Elle savait que c'était pour son bien, et qu'il fallait faire certains sacrifice. Outre cet exercice de la cascade, la fille aux cheveux court subissait d'autres sévices. Par exemple, en hiver. Elle court pieds nus dans la fôret, les racines et les cailloux ne lui faisaient pas de cadeau. Ses blessures n'étaient que des égratinures physiques, seul son mentale demeurrait intacte. Ses jambes étaient meurtries par les ronces, les chutes et les coups de canne. Cela consister à lui faire oublier la douleur physique, à la surpasser. La jeune fille y parvint, avec beaucoup de pleure. Oui, elle laisser penser à ce Ikyoki qu'elle était forte, que rien ne pourrait la briser tellement elle était forte, mais quand la porte de sa chambre était fermé, la vérité était toute autre. Des sanglots silencieux, longs et douloureux. Mais au bout de son entrainement physique, se trouver les leçons d'épée. Elle n'attendait que sa, la petite fille aux cheveux blanc. Elle débuta avec une épée en bambou. Toute simple, mais elle allait faire des merveilles, Ikyoshi en était sûr.
Chatper II : Anger. Pain. * Une épée tombe au sol. Un genou frêle fût poser sur le tatami. Un grognement féminin. Puis, plus rien. Un vieillard quitta la dojo d'un air complètement consterné. La jeune fille qui avait mis genou au sol n'a pas bouger d'un poil. Elle restait là, contemplant le sol avec termination, rage et sanglot. Elle ne devait pas baisser la garde, c'est ce qu'elle n'arrêter pas de se répeter. Elle était armée d'un simple katana en bambou, son maître n'avait que ses mains et ses quelques années d'expériences en art martiale. Ses entrainements solitaires, rien n'avait payer. Sa motivation pour faire des combats avec son ombre ? La menace de voir Yuri se faire dévorer par un démon de la région. Par ici, quand on parle de "démon", on voit une bête féroce aux crocs acérés et à la soif de sang insatiable. Le village compte 5 pertes d'habitants. Tous étaient des femmes, plus ou moins âgée, mais très faible physiquement. Les autorités avaient rapidement balcer l'affaire, et on laissait court à l'imagination des villageois, laissant la crainte des paysans s'intaller de plus en plus. Les poules mouillées avaient fuit rapidement ce bourg paumé, tandis que les plus vieux et les plus faibles étaient attachés à leur terre, malgré les recommandations de leur famille. Les membres de la famille Sadaharu, eux, étaient restés pour chasser la bête, avec d'autres riverains, plus jeunes, plus résistant. Beaucoup étant parti chasser l'affreuse chose que cache la forêt, tout comme beaucoup n'en sont pas revenue. On ose dire que la bestiole les a dévorés, ou alors qu'ils ont tout simplement fuit, laissant croire que leur cadavre avait été faucher par le démon. Les traces de son existence se manifestent par des poils laissés sur les scènes macabres, et des empreintes dans le sol qui s'enfonce dans la forêt en disparaissant. C'était là, les deux seuls indices que dispose les autorités et les "chasseurs" improvisés. La panique d'être une nouvelle cible emplissait les foyers, il fallait à tout prix faire quelque chose. On solicita alors la famille Sadaharu...
« Jours et nuits, je m'entrainais. J'avais augmenter la force de mes épreuves. Mais le résultat était le même, aucun de mes progrès n'avaient été fructueux. Ca me faisait mal, encore plus que souffrait Yuri de son étrange maladie. Ca avai commencer par quelques toux, commes les autres, on ne s'inquiétait pas, c'était la fin de l'automne, le début de l'hiver ! Un petit rhume pouvait bien trainée, surtout quand on travaille comme nous le faisions. Puis vient ensuite des malaises, qui la clouère rapidement dans son lit. Elle ne souffrait pas, non, Yuri n'arrivait juste pas à se tenir debout. C'est comme-ci ces jambes n'avaient jamais exister, elle pouvait les bouger, mais incapable de se tenir droite. Ikyoki et moi nous commençions à nous inquiéter, elle présentait les même symptômes que les autres. On savait qu'un moment ou un autre, la bête la prendrait à jamais. Il fallait que mon maître et moi restions sur nos gardes, et mes nuits étaient si courtes. Elles n'avaient jamais été longue d'ailleurs. A vrai dire, je passait le plus clair de ma nuit à cogner des rochers avec la visibilité casi-nulle sans compter le bandeau que j'ajouter pour épanouïr les sens qui s'endormaient quand le voile noirâtre prennait place. La fatigue du dur labeur de la journée, le stress permanent d'être découverte, la faim de minuit, les longs sanglots de ne pas y arriver. Sans compter que je n'avais que pour seul soutient, le sourire de Yuri. La seule qui était persuadé que je pouvait sauver l'humanité, qui se résume à ce village en somme, et qu'elle savait que ce n'était pas de ma faute. Oui, les autres n'arrêtaient pas de dire que j'avais attirer le démon avec mon "sang" d'être céleste. Mollester par de simples paroles haineuses, c'est pas si horrible me diriez-vous. Mais n'étant pas d'ici, n'ayant pas vécut les même choses qu'eux comme la famine, les maladies, je n'avais rien à faire là. Je ne comptais plus le nombre de fois où on me l'a dit, tout comme je ne comptait plus le nombre de regard noir que m'a lancer Ikyoki. Sans oublier qu'il m'ignorer devant tout les paysans. C'était un comble. Un parfait hypocrite devant Yuri, qui plus est ! Ma haine devenait presque grandissante pour ceux qui m'avait receuillit, nourrir et loger. En contre-parti, j'avais donner du mien en les aidant, je ne voulait pas être un poid pour tout ses gens. Mais maintenant, j'avais l'impression d'être un bouc émissaire. Avec aucun soutient morale, comment voulez-vous que je tienne ? Et un jour je l'ai vue, cette maudite bestiole ! Elle... Elle avait une silhouette horrible ! Immense et grotesque, elle tenait dans ses pattes le corps inerte de Yuri. La rage avait pris le dessus, je savais que si Ikyoki serait là, entrain de me frapper à coup de bambou pour me dire de me calmer, mais c'était presque impossible. Je savais où le maître avait mit ses katanas sacrées, je n'avais plus qu'à les prendre et poursuivre la bête dans la forêt. Je faisait une chose irréfléchit, mais je le savait, mais le pire dans tout sa, c'est que je n'ai pas penser une seconde à ce qui aller se passer... »
* Au fond de la forêt, près d'une grotte. Un bête monstrueusement immense se tient devant l'entrée. Sa gueule où des crocs prohéminants était la preuve que sa machoir était prête à lacérer n'importe quel innocent. Innocent que la chose semble tenir dans sa patte velue. Une gracieuse créature au teint blâfard, semblant dormir paisiblement. Quelques mètres plus loin, suivant sa trace en plissant le nez, une jeune fille armée d'un unique katana presque pittoresque en comparaison à la taille du monstre. Courant pieds nus, aucun cailloux tranchants, branches à l'allure diabolique ne pouvait ralentir la fille. Humant l'air, l'affreuse bête émit un grognement, laissant tomber sa victime comme un vulgaire sac de légume. Elle commença à poser des râlements forts et horribles, reprenant peu à peu sa forme humaine, perdant ses poils pour laisser place à une peau blanche et lisse. Un râlement moins sourd en suiva. Un homme nu se tenait maintenant debout, ayant pris la place du monstre. Dans les buissons non-loin, la fille bouillonnait de rage: elle reconnaissait parfaitement la personne. D'ailleurs cette personne regarda dans sa direction, et lança une excuse, accompagné de parole rassurante pour inviter la fille à se joindre à lui pour quelques explications. La colère aveuglait à ce point la jeune fille qu'elle ne voulait pas reconnaitre en cet homme le maître qui lui a apprit tout ce qu'elle sait à présent. Elle sorti du buisson où elle se tenait, s'approchant de l'être qui était devenu sanguinaire à ses yeux. Un frisson lui parcoura tout l'être; elle sentait cette aura destructrice qu'il avait caché le premier jour qu'elle avait ouvert les yeux. La jeune fille resta sur ses gardes, pointant l'homme qu'elle avait connu avec les sourcils fronçés.
« Ce qui se tenait devant moi, ce n'était plus Ikyoki. J'avais devant moi, une bête sanguinaire qui allait dévorer Yuri, et moi avec si je me laisser apprivoiser comme ça. Je sentait que les larmes coulées sur mes joues. Comme lors des mes entrainements, je me tenais raide devant le monstre, pointant le katana vers lui d'une seule main. Mon autre main était posé sur le manche du katana sacrée. Mon maître s'approcha d'un pas lent, se voulant rassurant. J'agita frénétiquement le katana, je ne savais pas quoi faire à ce moment là. Il fit un bond gigantesque, je n'eu même pas le temps de lever la tête qu'il était déjà près de moi, ayant poser sa main sur ma gorge et me plaqua avec violence contre l'arbre le plus proche. Surprise par tant de rapidité, je mits quelques à comprendre ce qui m'arriver, lachant le katana qui tomba avec un bruit étouffé. J'esseyais avec beaucoup de mal de retirer sa main qui me strangulait, quand je comprit que toutes la force dont il faisait preuve pendant les entrainements venait de là. Malgré la nuit épaise, je distinguais sans mal son sourire narquois. J'entendis une quinte de toux: Yuri était encore vivante! Ikyoki tourna la tête, serrant toujours mon cou dans sa main. En une fraction de seconde, j'avais sorti le katana sacrée et j'essaya par la suite de l'entailler profondemment. Il avait prévu mon coup, et se recula rapidement en sautant, je ne lui fit qu'une petite égratinure sur son torse nu. Ses yeux injectés de sang ne me laisser rien présagé de bon. Ne voulant pas baisser ma garde, je jetta un rapide coup d'oeil au sol pour savoir où se trouver l'autre katana. Disparut. Je présentit un mouvement offensif du monstre. C'est lui qui avait l'autre, il me l'avait dérobé. Avec la même rapidité, je sauta hors des buissons pour attérir dans non loin de Yuri. J'avais le katana sacré, mais ça ne sera pas suffisant pour s'occuper d'une bestiole comme ça, surtout si elle est armée. Il sorta des buissons en trainant les pieds en souriant, et s'arrêta en me regardant. "Yuri serait fière de toi... Une véritable Sadaharu, dommage que je dois te tuer maintenant..", cette phrase résonna en moi, je jetta un rapide coup d'oeil à Yuri qui était ravagé par la maladie et par les griffes du monstre. Je n'avais plus qu'une chose en tête, le tuer. »
* Une tête roula au sol. Une jeune femme se tenait devant un corps décapité, les deux katanas laisseraient le sang impure coulait lentement sur leurs lames. Il n'y avait pas que le sang qui coulait, les larmes de l'épéeiste coulait lentement. Elle rangea machinalement ses katanas dans leurs fourreaux respectifs. Ses vêtements étaient déchirés, elle gardait une cicatrice béante juste en dessous de sa poitrine. Le corps tomba à genoux, puis s'écroula, quand à la fille, elle lui tourna le dos en regardant l'autre corps de la vieille femme. Yuri était sur le point de mourir, le sourire aux lèvres. Titubante, l'épéeiste s'approcha d'elle en la regardant de haut. La vieille femme murmura quelque chose d'incompréhensible, soupira un "Ririn" avant de sombrer dans le sommeil éternel. La jeune fille à la chevelure d'argent leva la tête en laissant couler silencieusement ses larmes. Il ne lui restait plus qu'une chose à faire. Elle prit son katana simple, le leva et...
Chatper III : Maybe. Behind the flowers. * Sur le mur d'une pitoresque maison, une jeune fille était adosser, la tête contre la paroie, les yeux fermés. Juste en face d'elle, un petit jardin où poussent toute sorte de fleurs que la fille aux cheveux blancs connait sur le bout des doigts. Non loin d'elle, une sorte de specte s'amuse avec les papillons, une sorte de boule blanchâtre et fumeuse, sans visage. La jeune fille aux cheveux courts et blancs tenait dans ses mains un noeud noir, s'excusant faiblement. Le gasouillement des oiseaux rendait le tableau étrange. Le fantôme s'arrêta, s'approchant de la fille lentement. Et il lui dit que pour obtenir pénitence, elle ne devait pas continuer à s'excuser dans le vide. Souriante, l'humaine regardant l'esprit en lui tapotant affectueusement la "tête", les larmes aux yeux. La porte bancale de la maisonette s'ouvra, laissant apparaitre une dame très âgée, dont la Mort lui a offert quelque mois de survit. Cette dame avait sauver la jeune fille de son triste sort, et la jeune fille ne pouvait rien lui refuser à présent.
« Alors que j'étais agonisante dans la forêt, cette dame me reccueillat. Je pense aue bequcoup de gens m'auraient laisser mourir dans un ravin, me dérobant tout mes précieux biens. J'ai eu beaucoup de chance de tomber sur elle. Elle soigna toute mes blessures avec la médecine des plantes, un art qu'elle m'appris par la suite. Elle avait même nettoyer mes katanas. Son nom? Chouyou Otonashii. Moi, je savais que je devais changer de nom, je ne pouvais pas garder Sadaharu Ririn. Après tout, je m'étais bien coupé les cheveux avec mon katana, en regardant agoniser Yuri et ayant tuer mon maître. Je devais tout changer chez moi. Malheureusement, je n'en avait pas la force, je n'ai couper que mes cheveux et changer de nom. Je ne pouvais pas changer du jour au lendemain, en oubliant mes actes monstrueux. A chaque fois que j'étais seule, je ne pouvais m'empêcher de demander pardon à tout les dieux que j'avais connaissance. Là où je vivait à présent, c'était une forêt magique, si on peut dire. Les êtres magiques étaient tous là, des licornes aux trolls. Toutes n'étaient pas méchantes, Chouyou en était la preuve. C'était une lycanthrope "à la retraitre", passant ses journées à soigner les gobelins, les fées et à reccueillir les jeunes amnésiques dans mon genre. Malgré cela, je lui ai menti sur toute la ligne. Dès à présent, je m'appellais Mégane Van Cluzel, j'ai oublier mon soi-disant passé, et mon meilleur ami était un âme errante. Oui, la boule de fumée blanche était une âme, je le savait acr j'avais la particularité de différencier les âmes entre elle, allant même jusqu'à savoir leurs intentions, pacifistes ou belliqueux. Bushou, c'est son nom, devait être quelqu'un d'agréable. Il m'a confier que son corps a été séparer de son âme et qu'il cherchait après. Il ajouta aussi que c'était un démon. Pas un méchant, car je le ressentait dans son aura, c'était quelqu'un d'agréable qui ne ferait pas de mal à une mouche. Même qu'il ne s'intéresse jamais au conflit anges et démons, préférant vivre en paix avec. Jamais il n'avait dévoilé son "passé" à d'autres gens, et je suis la seule à le savoir. Voyant qu'il semblait avoir beaucoup d'affection et de confiance pour moi, je lui confia mon passé. Il était maintenant le seul à savoir que mon "véritable" nom était Ririn Sadaharu, que j'avais décapité mon maître et que j'avais laissé agoniser ma mère adoptive. Il ne me jugea pas, je crois même qu'il comprenait pourquoi j'avais agit ainsi. Ainsi, nous somme devenu très rapidement amis. Nous avions dû quitter le maison de madame Otonashii car, malgré qu'elle soit une louve-garou, elle avait atteint la limite d'âge. C'était la première fois que je voyais quelqu'un mourir paisiblement, car je savais que quand je partirais, ma vie sera liée au crime pour toujours. Bushou et moi avions attendu avec beaucoup de patience l'arriver de l'ancien clan de Chouyou. Tous les membres nous ont remercier d'avoir pris soin de la doyenne, car eux, ils n'avaient pas le temps avec les conflits entre chaques clans et les nouveaux-nés à nourrir. Je leur dit que je ne faisais qu'accomplir mon devoir en payant ma dette. Ainsi, je savais que l'ancien clan de Chouyou s'occuperais d'elle pour l'enterrer comme il se doit et très tôt le matin, nous sommes parti. Pendant plusieurs mois, nous avions tout deux vagabonder dans toutes les régions possibles, effectuant des petits nettoyages de monstres dans les villes et les villages. J'étais suffissament payer pour dormir et manger le soir. Jusqu'au jour où j'eu cette étrange invitation. Le Quartier Général des Exorcistes? Qu'est-ce que cet encore que cet histoire? Cependant, j'accepta volontier l'invitation, si c'était pour débarraser le monde des méchantes bêtes, pourquoi pas. A vrai dire, je commençait vraiment à me lasser des légendes locales sur les soi-disants monstres. Peut-être que ça serait plus concret.. Bushou me confia qu'il avait peur d'être harceler pour se faire mettre dans un tube à fantôme. Je lui dit que je protégerais de tous les fous qui voudraient mettre la main sur lui. Je quitta ma chambre d'hôtel sans bagages, seulement avec mes katanas. A vrai dire, je ne me suis jamais soucier de mes bagages, mes katanas sont mes seuls bagages. Peut-être qu'en allant là-bas, Bushou retrouverait son corps et moi, je mettrais mes talents d'épéeiste pour combattre le côté obscure des créature légendaires. J'allais aussi mettre mes talents de jardinière herboriste pour infiltrer une académie que le QG avait pour cible. Et donc, être plus près de mes futurs cibles. C'était mesquin, mais il n'y a pas meilleur moyen de savoir qui est méchant, qui est gentil dans ce monde. »
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© Poppy
| Code: Il suffit d'y croire un peu. Je suis juste le DC de Kahera. :3 |
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Dernière édition par Mégane Van Cluzel le Dim 29 Mai - 11:37, édité 4 fois |
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